«Entschädigungen an den Versicherungsvermittler, die aus dem Vorsorgevermögen bezahlt werden, sind nicht im Interesse der Versicherten», steht in der im Parlament hängigen Botschaft des Bundesrats zur Modernisierung der Aufsicht der AHV. Eine Studie der Universität St.Gallen dagegen verteidigt das bestehende Courtagensystem in der beruflichen Vorsorge. Lesen Sie hier, um was es in dieser für die Versicherungsbroker folgenreichen Auseinandersetzung geht.
Geplanter Artikel im Berufsvorsorgegesetz
«Der Bundesrat regelt, unter welchen Voraussetzungen Vorsorgeeinrichtungen für die Vermittlung von Vorsorgegeschäften Entschädigungen bezahlen dürfen und Versicherungseinrichtungen solche Entschädigungen ihrer getrennten Betriebsrechnung für die berufliche Vorsorge belasten dürfen», steht im Entwurf zu einem neuen Artikel 69 im Berufsvorsorgegesetz. Dieser Artikelentwurf ist Teil der im Parlament hängigen «Modernisierung der Aufsicht in der 1. Säule und Optimierung in der 2. Säule der Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge». In der Botschaft zu diesem Reformprojekt äussert der Bundesrat glasklar seine Meinung zu den Courtagen an Versicherungsvermittler in der beruflichen Vorsorge: «Entschädigungen an den Versicherungsvermittler, die aus dem Vorsorgevermögen bezahlt werden, sind nicht im Interesse der Versicherten und deshalb mit dem Vorsorgeziel nicht vereinbar. Sie führen zu Fehlanreizen, die die bestehenden Verzerrungen (Risikoselektion) in der beruflichen Vorsorge noch verstärken. Der Bundesrat erachtet die aktuelle Situation als unbefriedigend und erklärte sich deshalb bereit, zu prüfen, welche Änderungen angezeigt sind. Er erhält neu im geplanten Artikel 69 des Berufsvorsorgegesetzes die Kompetenz, in der Verordnung zu regeln, unter welchen Voraussetzungen eine Vorsorgeeinrichtung für die Vermittlung von Vorsorgegeschäften Entschädigungen bezahlen darf.»
Studie verteidigt das gegenwärtige Courtagensystem
Die im Auftrag der Swiss Insurance Brokers Association ausgearbeitete und im Februar 2020 veröffentlichte Studie «Nutzen und Kosten der unabhängigen Versicherungsvermittlung (Versicherungsbroker) für Arbeitnehmer und Arbeitgeber in der beruflichen Vorsorge» der Universität St.Gallen kommt im Gegensatz zu den bundesrätlichen Erwägungen zum Schluss: «Als Fazit unserer Studie sehen wir im Bereich der Courtagen für unabhängige Versicherungsbroker in der beruflichen Vorsorge keinen grundlegenden Systemwechsel angezeigt. Im bestehenden System gibt es aber Optimierungspotenziale in den drei Bereichen Transparenz, Ausbildung und Haftung.»
Nutzen der reinen Honorarberatung ist nicht ersichtlich
Als ein Hauptgrund für die Verteidigung des gegenwärtigen Courtagensystems wird in der Studie der Universität St.Gallen aufgeführt: «In der Szenarioanalyse werden sechs Varianten einer Marktregulierung im Hinblick auf die zu erwartenden Auswirkungen evaluiert. Es verbleiben erhebliche Zweifel, ob durch die Einführung einer reinen Honorarberatung ein Nutzen aus Sicht des einzelnen Kunden wie auch aus der Sicht der Volkswirtschaft insgesamt erzielt werden kann. Dies insbesondere, weil der erhoffte Nutzen einer höheren Beratungsqualität nicht belegt werden kann, aber negative Folgen bereits relativ breit sichtbar sind.»
Es wird spannend sein zu beobachten, ob und wie in der kommenden politischen Diskussion über die Regulierung der Versicherungsbrokercourtagen im Bereich der Pensionskassen die Erkenntnisse der Studie der Universität St.Gallen eingehen. Wir bleiben am Ball.
L’harmonisation du trafic des paiements bat son plein en Suisse. Toutes les entreprises doivent avoir adapté leur logiciel comptable à la nouvelle norme ISO 20022 d’ici au 30 juin 2018. Au terme de cette mutation, les émetteurs de factures pourront, à partir de janvier 2019, commencer à envoyer des factures QR répondant pleinement aux exigences réglementaires liées à l’ordonnance révisée sur le blanchiment d’argent. Quelle est la marche à suivre?
Le projet «SEPA» en cours depuis 2012
En mars 2012, l’Union européenne (UE) lance le projet «Single Euro Payments Area – SEPA». L’objectif: uniformiser à l’échelle mondiale le trafic des paiements sans numéraire. Le «SEPA» s’inscrit dans le cadre de la nouvelle norme ISO 20022. Cette norme internationale pour l’échange électronique des données dans la branche financière entrera également en vigueur en Suisse en juillet 2018.
Tous concernés
L’harmonisation du trafic des paiements suivant la norme ISO 20022 concerne tout le monde: les établissements financiers, les entreprises et donc tous les courtiers en assurances, les clients. Les virements, prélèvements, notifications et reportings, mais aussi les bulletins de versement seront adaptés au nouveau système. Pour pouvoir travailler en conformité avec la nouvelle norme de paiement ISO 20022, les entreprises suisses sont donc tenues d’actualiser leurs processus et leurs logiciels jusqu’au 30 juin 2018 au plus tard.
Chances d’optimisation
Il est de l’intérêt des entreprises de toutes tailles de procéder sans attendre à la transition vers ISO 20022, car l’uniformisation des systèmes de paiement permet de prévenir les erreurs de saisie, les questions complémentaires et les rejets de la part des banques, et de réduire ainsi la charge administrative.
Collaborer avec les partenaires de la technologie de l’information (TI)
Pour pouvoir travailler en accord avec la nouvelle norme ISO-20022, toutes les entreprises doivent disposer d’un logiciel comptable qui la supporte ainsi que d’un matériel informatique actualisé. Si ce n’est pas encore le cas, il est indispensable d’œuvrer, avec les partenaires de la technologie de l’information (IT) et les responsables IT en interne, à y remédier rapidement.
Condition préalable à la facture QR
L’harmonisation du trafic des paiements conformément à la norme ISO 20022 implique en outre le passage à la facture QR. À partir de janvier 2019, les premières factures QR pourront être envoyées. Elles pourront être établies uniquement par des logiciels comptables ou des systèmes ERP (Enterprise-Resource-Planning) correspondant à la nouvelle norme ISO 20022. Les bulletins de versement actuels ne pourront continuer à être utilisés pour la facturation que pendant une période de transition.
Malgré l’engouement pour les réseaux sociaux, l’emailing reste l’outil incontournable du marketing en ligne. L’avantage: avec les logiciels de newsletter disponibles sur Internet, chaque entreprise et donc chaque courtier en assurances peut créer sans problème sa propre newsletter électronique. Cela vaut la peine de s’y mettre sans tarder.
Les nombreux atouts de l’emailing
Sur le blog «Comparatif logiciel emailing : les 11 meilleurs outils sur le marché francophone», Robert Brandl souligne les nombreux avantages de la newsletter électronique:
Les caractéristiques techniques à prendre en compte
La production de newsletters électroniques est devenue si simple que les offres dans ce domaine font aujourd’hui foison. Pour éviter tout désagrément à vos lecteurs et lectrices, voici deux éléments auxquels vous devez prêter attention. Premièrement, la newsletter doit être résiliable en un clic, instantanément et à tout moment. Deuxièmement, tout comme un site Internet moderne, la newsletter doit s’adapter à l’écran (ordinateur, smartphone ou tablette) utilisé pour la lire.
Quelques outils d’emailing éprouvés
Marco Keller, 40 ans (photo), est directeur des finances et de l’administration du groupe de courtiers en assurances ARISCO , à Baar. L’entreprise, née de la réunion de courtiers et de conseillers en 2011, qui emploie près de 50 collaborateurs et est implantée à Zoug, Lucerne, Zurich, Egg, Adligenswil et Herisau, introduit actuellement un nouveau système informatique. Le spécialiste en assurances et économiste d’entreprise diplômé de l’Institut d’économie de l’Université de Saint-Gall explique dans le deuxième entretien accordé à winVS-E-News les points auxquels les courtiers en assurances doivent faire particulièrement attention lors du déploiement d’un nouveau système informatique.
Marco Keller, quelles sont les principales étapes de votre processus de déploiement? Marco Keller: Après les phases approfondies d’analyse, de consolidation et de nettoyage, nous sommes actuellement dans la phase d’essai de la migration: la phase d’essai a commencé début février. Nous avons parallèlement préparé les formations, qui sont prévues pour mars et avril. Si tout se déroule comme prévu, nous passerons au déploiement en mai. Quelle est votre charge de travail en tant que responsable du projet de déploiement et qui vous assiste dans votre tâche? Marco Keller: Je consacre chaque semaine environ huit à dix heures à la gestion du projet de déploiement. De plus, je suis assisté efficacement par une équipe de projet interne. Il s’agit de collaborateurs «ayant des affinités avec l’informatique», qui connaissent très bien les systèmes actuels et les processus sur nos six sites. Ils font de précieuses suggestions pour le déploiement de «winVS next» et aident à nettoyer les données. Comment se déroule la collaboration et la répartition des rôles avec le fournisseur du logiciel? Marco Keller: Cette collaboration se déroule très bien jusqu’ici. Les points essentiels du projet ont été définis ensemble, puis traités de manière structurée. Des réunions de statut ont régulièrement lieu, au cours desquelles les questions actuelles sont discutées et la suite de la procédure définie. Je constate dans ce cadre que la flexibilité du logiciel et du partenaire, telle que promise dans la phase de l’offre, est chose réelle et vécue dans le projet. Cela nous permet de trouver des solutions constructives qui nous font avancer. Quels ont été jusqu’à présent les points sensibles et éventuellement les imprévus que vous avez rencontrés pendant le processus de déploiement? Marco Keller: Au stade préliminaire du projet, il était déjà prévisible que la réunion de quatre banques de données clients séparées induirait un travail considérable de nettoyage. Ce point s’est confirmé au cours du projet, mais il a été très bien soutenu et accompagné par le partenaire. Lors de mes projets de logiciels précédents, j’étais habitué au fait qu’on pouvait avoir accès au nouveau système à un stade précoce du projet et qu’on pouvait tester dessus certains thèmes. Avec winVS next, cela n’a pas été possible avant le premier essai de migration, du fait de l’architecture du logiciel. La phase d’essai me procure donc une grande joie car j’ai maintenant accès pour la première fois au nouveau système et aux données migrées. Sur la base de votre toute dernière expérience, de quoi faut-il tenir compte lors du déploiement d’un nouveau logiciel de Courtage? Marco Keller: L’introduction d’un nouveau logiciel s’accompagne de nombreuses questions à clarifier et décisions à prendre. Il est important de garder toujours à l’esprit les besoins des collaborateurs car ils devront travailler tous les jours avec le nouveau logiciel après le «going live». De plus, il faut toujours réussir à garder une vue d’ensemble des nombreux points importants. Nous y parvenons grâce au cahier des charges, que nous utilisons désormais, après la phase d’offre, avec rigueur pour le déploiement ainsi que pour les prochains essais. Il est aussi très important de toujours impliquer les personnes concernées. Une équipe de projet interne bénéficiant d’un vaste appui doit permettre de faire des personnes concernées des participants qui s’impliquent activement dans le déploiement. Cela augmente considérablement l’acceptation interne du nouveau système. Votre conseil final à nos lectrices et lecteurs? Marco Keller: Même si un tel projet logiciel pose quelques exigences en termes de ressources internes, cet investissement dans l’avenir en vaut la peine. Ceci vaut tout particulièrement à notre époque, où le thème de la numérisation des affaires – le mot clé étant ici «FinTech» – se retrouve de de plus en plus au centre des préoccupations d’un nombre croissant de responsables dans le secteur des assurances et du courtage. À propos du groupe ARISCO Le groupe ARISCO, sous l’enseigne de l’ARISCO Holding AG, à Baar, est né en 2011 de la réunion d’un groupe d’entreprises de courtage en assurances et de conseil, qui avaient déjà travaillé en étroite collaboration auparavant. Avec des implantations à Zoug, Lucerne, Zurich, Egg, Adligenswil et Herisau et près de 50 collaboratrices et collaborateurs, le groupe fait partie des plus gros courtiers en assurances indépendants à l’échelon national. Il dispose de contacts directs avec tous les principaux fournisseurs de prestations d’assurances sur le marché suisse. Il propose une offre de prestations globale dans les secteurs des assurances, de la prévoyance professionnelle et privée, de la gestion de patrimoine, du recours, du conseil juridique hors couverture d’assurance, de la gestion des absences et du case management. La majorité des dirigeants actifs dans l’entreprise viennent de l’Arisco Holding AG. Tous les collaborateurs ont la possibilité de participer à l’entreprise. L’actionnariat englobe actuellement 20 personnes. Seules cinq d’entre elles sont des personnes externes. Les filiales opérationnelles ARISCO Versicherungen AG, ARISCO Vorsorge AG, ARISCO Dienstleistungen AG et SEH Versicherungsbroker AG sont détenues à cent pour cent par la société mère.
Die Brokercourtagen sind so lange berechtigt, wie es verschiedene BVG-Kassen gibt. Die Courtagestreichung ist nur dann korrekt, wenn nur noch eine Kasse existiert. Da die Bundes BVG Kasse von allen bisherigen Kassen am schlechtesten abgeschnitten hat. Man darf ohne Übertreibung sagen kriminell verwaltet wurde und mit Sicherheit bei dieser keine Courtagen bezahlt wurden, ist ein weiterer Kommentar nicht mehr nötig.Einfach gesprochen, der Bund soll zuerst vor seiner eigenen Türe aufwischen, bevor er sich in fremde Gärten wagt. Zudem zahlen wir, das arbeitende Volk deren Kassenbeiträge, durch die 7-fach Versteuerung unseres Grundeinkommens. Das muss auch in Zukunft angegangen werden. Ich gehöre neben Kessler zu den ältesten Brokern in der Schweiz.