Frage von K. A., Versicherungsbroker in Z.: «In der letzten Ausgabe Ihres Newsletters erläutern Sie, was Führungsinstrumente sind. Sie behaupten dann, die Software ‘win VS next’, sei ‘ein auf das Geschäft der Versicherungsbroker abgestimmtes Führungsinstrument’. Erklärt wird das aber wenig. Könnten Sie mir etwas ausführlicher aufzeigen, weshalb ‘winVS next’ für Versicherungsbroker das ideale Führungsinstrument ist?»
Flexible Datenauswertung zuhanden der Geschäftsführung
Ein zeitgemässes Führungsinstrument muss die Geschäftsleitung mit genau denjenigen Datenauswertungen beliefern, die es braucht, um das Unternehmen voranzubringen. Im Standard von «winVS next» werden dafür im Versicherungsbrokergeschäft notwendige Dashboards und Auswertungsmöglichkeiten mitgeliefert. Die besondere Stärke der Software liegt nun darin, dass jeder Versicherungsbroker aufgrund der unternehmensspezifischen Bedürfnisse die benötigten Dashboards und Auswertungen ohne jeglichen Programmieraufwand massgeschneidert erstellen kann. Oder: «winVS next» bietet eine äusserst flexible Gestaltung der Auswertungen und somit der Führungsunterstützung. Das ist wichtig, weil sich die einzelnen Versicherungsbroker in mannigfaltigen Dingen unterscheiden.
Was sich erfassen lässt
Das sind die Bereiche, die sich mit «winVS next» bedürfnisgerecht erfassen lassen:
Dynamische Informationen mit grafischer Unterstützung in Echtzeit
Neben den Dashboards sind die gebotenen Kriterien zur Bildung von Marketinglisten ein weiterer Vorteil von «winVS next»: Zur Kategorisierung der Kunden des Versicherungsbrokers werden in Listen die ausschlaggebenden Kriterien in Echtzeit zusammengestellt und aufgezeigt. Mithin bietet die Software im Standard die Möglichkeit, über alle Kunden die für das erfolgreiche Geschäft notwendigen Informationen anzuzeigen, und zwar mit grafischer Unterstützung.
winVS est présente sur les réseaux sociaux depuis un certain temps. L’objectif visé consiste à intensifier la communication interactive avec des clients, amis, personnes intéressées et curieux. C’est pourquoi des activités de communication correspondantes sont gérées sur les principaux réseaux. Nous attendons avec plaisir vos commentaires et le dialogue électronique avec vous. Découvrez ci-après les noms et les liens vous permettant de nous trouver sur LinkedIn, Facebook, Twitter et XING.
Noms et liens de winVS sur les réseaux sociaux winVS software AG propose des solutions logicielles entièrement intégrées qui associent des composants d’administration et de conseil. Les logiciels tous sans exception simples à l’utilisation couvrent les besoins de courtiers en assurances, consultants financiers et autres prestataires financiers, fiduciaires, banques et assurances. Des informations sur les activités de winVS sont également diffusées sous forme accrue via les réseaux sociaux. L’objectif visé consiste à informer et à dialoguer sous forme électronique avec des clients, amis, personnes intéressées et curieux. winVS est présente sur ces réseaux sous les noms et liens suivants:
LinkedIn: winVS software AG Facebook: @winVSsoftware Twitter: @winVSsoftware XING: winVS software AG
Andreas Merz (photo), cofondateur de winVS software AG, mais aussi fondateur et directeur de sa filiale META10, ne cesse de le souligner dans ses nombreuses séances d’information: «Dans les petites et moyennes entreprises de services, dont les courtiers en assurances font partie, les serveurs d’entreprise ont fait leur temps. Car après avoir pesé le pour et le contre, migrer vers le Secure Cloud s’avère judicieux.» Découvrez ici pourquoi.
La technologie de l’information (TI) dans le Secure Cloud
META10 AG propose depuis de nombreuses années aux petites et moyennes entreprises suisses orientées vers la prestation de services une infrastructure de technologie de l’information (TI) ultra-sécurisée et continuellement mise à jour adaptée à leur domaine dans le Secure Cloud – et ce à moindres frais. Cette solution permet aux entreprises d’utiliser leurs appareils comme leurs ordinateurs, smartphones et tablettes, mais aussi scanners et imprimantes, aussi bien dans leurs bureaux que partout dans le monde. Face au Secure Cloud, les serveurs d’entreprise ont fait leur temps. Les programmes toujours à la pointe de la technologie fonctionnent via une connexion Internet dans des centres de calcul situés en Suisse, où les données sont également dupliquées dans les règles de l’art et selon les obligations légales suisses.
Une réduction des coûts due à l’industrialisation
Pour expliquer la solution de Secure Cloud qu’il a élaborée de longues années durant, le directeur de META10 Andreas Merz fait l’analogie avec l’économie d’échelle dans l’industrie automobile: «Nous nous chargeons de la maintenance et de la mise à jour de tous les programmes requis et réalisons toutes les mesures de protection et les sauvegardes requises pour la sécurité des données et des systèmes pour ainsi dire à l’échelle industrielle pour l’ensemble des clients de nos centres de calcul. Cela engendre, pour chaque poste de travail, d’importantes économies par rapport au processus classique utilisant une infrastructure de technologie de l’information propre à l’entreprise.
Avocats, agents fiduciaires, administrations, conseillers de tous types et même courtiers en assurances
Les entreprises qui optent pour le Secure Cloud y ont accès via une plateforme. Celle-ci permet d’activer pour chaque poste de travail uniquement les programmes qui y sont réellement utilisés. Il s’agit des programmes d’usage courant et, bien entendu, de ceux spécifiques à la branche – pour les courtiers en assurances, cela implique notamment le logiciel de courtage. On ne paye donc pour chaque poste de travail que l’utilisation des programmes activés pour celui-ci. Tout est taillé sur mesure en fonction du besoin d’utilisation de programmes des collaborateurs intervenant. Une solution particulièrement adaptée aux avocats, agents fiduciaires, conseillers de tous types, entreprises du domaine de la finance, de l’immobilier et du recrutement – et également aux courtiers en assurances.
Marco Keller, 40 ans (photo), est directeur des finances et de l’administration du groupe de courtiers en assurances ARISCO , à Baar. L’entreprise, née de la réunion de courtiers et de conseillers en 2011, qui emploie près de 50 collaborateurs et est implantée à Zoug, Lucerne, Zurich, Egg, Adligenswil et Herisau, introduit actuellement un nouveau système informatique. Le spécialiste en assurances et économiste d’entreprise diplômé de l’Institut d’économie de l’Université de Saint-Gall explique dans le deuxième entretien accordé à winVS-E-News les points auxquels les courtiers en assurances doivent faire particulièrement attention lors du déploiement d’un nouveau système informatique.
Marco Keller, quelles sont les principales étapes de votre processus de déploiement? Marco Keller: Après les phases approfondies d’analyse, de consolidation et de nettoyage, nous sommes actuellement dans la phase d’essai de la migration: la phase d’essai a commencé début février. Nous avons parallèlement préparé les formations, qui sont prévues pour mars et avril. Si tout se déroule comme prévu, nous passerons au déploiement en mai. Quelle est votre charge de travail en tant que responsable du projet de déploiement et qui vous assiste dans votre tâche? Marco Keller: Je consacre chaque semaine environ huit à dix heures à la gestion du projet de déploiement. De plus, je suis assisté efficacement par une équipe de projet interne. Il s’agit de collaborateurs «ayant des affinités avec l’informatique», qui connaissent très bien les systèmes actuels et les processus sur nos six sites. Ils font de précieuses suggestions pour le déploiement de «winVS next» et aident à nettoyer les données. Comment se déroule la collaboration et la répartition des rôles avec le fournisseur du logiciel? Marco Keller: Cette collaboration se déroule très bien jusqu’ici. Les points essentiels du projet ont été définis ensemble, puis traités de manière structurée. Des réunions de statut ont régulièrement lieu, au cours desquelles les questions actuelles sont discutées et la suite de la procédure définie. Je constate dans ce cadre que la flexibilité du logiciel et du partenaire, telle que promise dans la phase de l’offre, est chose réelle et vécue dans le projet. Cela nous permet de trouver des solutions constructives qui nous font avancer. Quels ont été jusqu’à présent les points sensibles et éventuellement les imprévus que vous avez rencontrés pendant le processus de déploiement? Marco Keller: Au stade préliminaire du projet, il était déjà prévisible que la réunion de quatre banques de données clients séparées induirait un travail considérable de nettoyage. Ce point s’est confirmé au cours du projet, mais il a été très bien soutenu et accompagné par le partenaire. Lors de mes projets de logiciels précédents, j’étais habitué au fait qu’on pouvait avoir accès au nouveau système à un stade précoce du projet et qu’on pouvait tester dessus certains thèmes. Avec winVS next, cela n’a pas été possible avant le premier essai de migration, du fait de l’architecture du logiciel. La phase d’essai me procure donc une grande joie car j’ai maintenant accès pour la première fois au nouveau système et aux données migrées. Sur la base de votre toute dernière expérience, de quoi faut-il tenir compte lors du déploiement d’un nouveau logiciel de Courtage? Marco Keller: L’introduction d’un nouveau logiciel s’accompagne de nombreuses questions à clarifier et décisions à prendre. Il est important de garder toujours à l’esprit les besoins des collaborateurs car ils devront travailler tous les jours avec le nouveau logiciel après le «going live». De plus, il faut toujours réussir à garder une vue d’ensemble des nombreux points importants. Nous y parvenons grâce au cahier des charges, que nous utilisons désormais, après la phase d’offre, avec rigueur pour le déploiement ainsi que pour les prochains essais. Il est aussi très important de toujours impliquer les personnes concernées. Une équipe de projet interne bénéficiant d’un vaste appui doit permettre de faire des personnes concernées des participants qui s’impliquent activement dans le déploiement. Cela augmente considérablement l’acceptation interne du nouveau système. Votre conseil final à nos lectrices et lecteurs? Marco Keller: Même si un tel projet logiciel pose quelques exigences en termes de ressources internes, cet investissement dans l’avenir en vaut la peine. Ceci vaut tout particulièrement à notre époque, où le thème de la numérisation des affaires – le mot clé étant ici «FinTech» – se retrouve de de plus en plus au centre des préoccupations d’un nombre croissant de responsables dans le secteur des assurances et du courtage. À propos du groupe ARISCO Le groupe ARISCO, sous l’enseigne de l’ARISCO Holding AG, à Baar, est né en 2011 de la réunion d’un groupe d’entreprises de courtage en assurances et de conseil, qui avaient déjà travaillé en étroite collaboration auparavant. Avec des implantations à Zoug, Lucerne, Zurich, Egg, Adligenswil et Herisau et près de 50 collaboratrices et collaborateurs, le groupe fait partie des plus gros courtiers en assurances indépendants à l’échelon national. Il dispose de contacts directs avec tous les principaux fournisseurs de prestations d’assurances sur le marché suisse. Il propose une offre de prestations globale dans les secteurs des assurances, de la prévoyance professionnelle et privée, de la gestion de patrimoine, du recours, du conseil juridique hors couverture d’assurance, de la gestion des absences et du case management. La majorité des dirigeants actifs dans l’entreprise viennent de l’Arisco Holding AG. Tous les collaborateurs ont la possibilité de participer à l’entreprise. L’actionnariat englobe actuellement 20 personnes. Seules cinq d’entre elles sont des personnes externes. Les filiales opérationnelles ARISCO Versicherungen AG, ARISCO Vorsorge AG, ARISCO Dienstleistungen AG et SEH Versicherungsbroker AG sont détenues à cent pour cent par la société mère.