Ein mutiger Entscheid vor rund zehn Jahren
Die winVS software AG hat vor rund zehn Jahren den mutigen Entscheid gefasst, die damals erfolgreiche Brokersoftware «winVS office» auf der Grundlage der wegweisenden «Microsoft Dynamics CRM»-Plattform auf den neusten Stand der Technologie zu bringen. Die Software wurde unter dem Namen «winVS next» von Grund auf neu geschrieben. Ziel war es, den Versicherungsbrokern die sich abzeichnende Digitalisierung und Automatisierung aller Geschäftsprozesse reibungslos zu ermöglichen. In all den Jahren ist die Brokersoftware «winVS next» weiter stets vervollkommnt und auf dem jeweils neusten Stand der Technologie gehalten worden. Die Nutzer von «winVS next» sind daher bestens gerüstet, bei der von der Interessengemeinschaft IG B2B for Insurers + Brokers angestrebten umfassenden Digitalisierung des Versicherungsbrokergeschäfts an der Spitze mitzumachen.
Belohnung für die stetigen Innovationsanstrengungen der winVS software AG
Am BrokerConvent 2018 vom 31. Oktober 2018 in der BERNEXPO wurden zum ersten Mal die IG B2B-Awards vergeben. Die Mitglieder der IG B2B stimmten darüber ab, welche Unternehmen die grössten Schritte bei der Umsetzung der Kernprozesse gemacht haben. Grundlage hierfür bildeten Projektbeschreibungen von Mitgliedern, die die Absichtserklärung zur BrokerInitiative 2018 unterzeichnet haben. Als Belohnung für die stetigen Innovationsanstrengungen im Sinne der Brokerinitiative 2018 ist die winVS software AG für ihre Brokersoftware «winVS next» in der Kategorie «Brokersoftwarehersteller» mit dem «IG B2B-Award 2018» ausgezeichnet worden.
Zusammenarbeit Broker, Versicherer und Softwarehersteller
Der BrokerConvent 2018 mit rund 300 Teilnehmerinnen und Teilnehmern stand unter dem Motto «Die Digitalisierung treibt den Markt». Michael John, Präsident der der Interessengemeinschaft IG B2B for Insurers + Brokers, unterstreicht, dass der BrokerConvent hervorragend aufzeige, wie Broker, Versicherer und Softwarehersteller gemeinsam den Markt weiterentwickeln und Impulse setzen. Am Convent wird namentlich hervorgehoben, wie sich die IG B2B zu einer zukunftsweisenden digitalen Plattform entwickelt, die mit Amazon, Uber oder Apple technologisch vergleichbar ist. Des Weiteren wird über die Fortschritte der Brokerinitiative 2018 berichtet. Bis im Herbst 2020 sollen Broker und Versicherer mittels der IG B2B-Kernprozesse komplett digitalisiert zusammenarbeiten können. Als Vision wird überdies eine Studie zum Thema «Blockchain im Ökosystem der IG B2B» vorgestellt. Ergebnis der Studie: Die IG B2B und ihr Ökosystem eignen sich hervorragend für Blockchain-Anwendungen, da viele Grundlagen bereits vorhanden sind.
winVS est présente sur les réseaux sociaux depuis un certain temps. L’objectif visé consiste à intensifier la communication interactive avec des clients, amis, personnes intéressées et curieux. C’est pourquoi des activités de communication correspondantes sont gérées sur les principaux réseaux. Nous attendons avec plaisir vos commentaires et le dialogue électronique avec vous. Découvrez ci-après les noms et les liens vous permettant de nous trouver sur LinkedIn, Facebook, Twitter et XING.
Noms et liens de winVS sur les réseaux sociaux winVS software AG propose des solutions logicielles entièrement intégrées qui associent des composants d’administration et de conseil. Les logiciels tous sans exception simples à l’utilisation couvrent les besoins de courtiers en assurances, consultants financiers et autres prestataires financiers, fiduciaires, banques et assurances. Des informations sur les activités de winVS sont également diffusées sous forme accrue via les réseaux sociaux. L’objectif visé consiste à informer et à dialoguer sous forme électronique avec des clients, amis, personnes intéressées et curieux. winVS est présente sur ces réseaux sous les noms et liens suivants:
LinkedIn: winVS software AG Facebook: @winVSsoftware Twitter: @winVSsoftware XING: winVS software AG
Le logiciel de courtage «winVS next» permet d’automatiser sur mesure la gestion des relations clients du courtier en assurances. La solution CRM «Microsoft Dynamics CRM» éprouvée est utilisée dans ce cadre et fonctionne en parfaite compatibilité avec Office et donc avec Word, Outlook, Excel, PowerPoint et Access. Le produit propose bien plus qu’une simple solution Excel CRM.
Tâches analytiques et opérationnelles avec le CustomerRelationshipManagement CRM Chez les courtiers en assurances, le CustomerRelationshipManagement CRM comprend toutes les activités associées aux relations avec les clients actuels et potentiels. Il s’agit ici de tâches analytiques et opérationnelles. Dans la partie analytique du CRM, toutes les données relatives aux clients actuels et potentiels sont systématiquement regroupées, structurées, documentées, gérées et évaluées. Cette partie permet par exemple de mettre à jour le comportement et les préférences d’un client ou les coûts qu’il a générés. Pour cette partie analytique, des solutions Excel CRM simples sont proposées sur le marché: les données sont collectées, gérées et évaluées avec le programme de feuilles de calcul. Mais le logiciel moderne CustomerRelationshipManagement CRM dans le secteur du courtage en assurances doit proposer bien plus: avec le «CRM opérationnel», les données collectées dans le «CRM analytique» sont utilisées de manière ciblée lors des contacts avec des clients actuels et potentiels. Les relations avec un potentiel de création de valeur sont identifiées et développées. CustomerRelationshipManagement CRM automatisé De plus, le «CRM analytique» et le «CRM opérationnel» devraient se dérouler de manière fluide et automatisée. Et ce de manière à tenir compte des propriétés de chacun des courtiers en assurances. C’est la raison pour laquelle le logiciel de courtage «winVS next» permet d’automatiser sur mesure la gestion des relations clients du courtier en assurances. La solution CRM «Microsoft Dynamics CRM» éprouvée est utilisée dans ce cadre et fonctionne en parfaite compatibilité avec Office et donc avec Word, Outlook, Excel, PowerPoint et Access. Les fonctions CRM sont disponibles dans le navigateur web ou sont directement et entièrement intégrées dans l’environnement Outlook.
Ce que l’automatisation CRM rend possible Chez le courtier en assurances, l’introduction d’une solution CRM automatisée induit les avantages suivants:
Le service DXP (Data Exchange Proxy) d'IG B2B pour les assureurs + courtiers est la base du traitement automatisé des données entre les courtiers et les assureurs. La question est de savoir comment un courtier d'assurance peut utiliser ce service. Nous livrons la réponse.
Automatiser les dix processus principaux de l'activité de courtage
Le service DXP (Data Exchange Proxy) du groupe d'intérêt IG B2B pour les assureurs + courtiers permet le traitement automatisé des dix processus clés de l'activité de courtage grâce à l'échange d'informations standardisées au format XML. Le service DXP agit en tant que centre de données central et fiable qui prend en charge l'identification et l'autorisation des parties sans stocker ou traiter les données elles-mêmes. Le service DXP constitue ainsi la base du traitement automatisé des données entre courtiers et assureurs. Les dix processus centraux de l’activité de courtage sont les suivants: communication et information, préparation de contrat, approvisionnement, mandat, réclamations, devis, factures et rappels, transfert des dommages, gestion de contrat et réglementation des contrats.
Conditions requises pour utiliser le service DXP (Data Exchange Proxy)
Un courtier d’assurance qui souhaite utiliser le service DXP (Data Exchange Proxy) du groupe d’intérêts IG B2B pour les assureurs + les courtiers doit répondre aux trois exigences suivantes:
Le logiciel de courtage «winVS next» répond aux exigences
Le logiciel de courtage "winVS next" répond à toutes les exigences pour l'utilisation du service DXP (Data Exchange Proxy) de la communauté d'intérêts IG B2B pour assureurs + courtiers. Le document PDF "Configurer DXP avec winVS next" montre comment configurer le service DXP avec "winVS next".
Le Customer Relationship Management CRM est l’approche systématique pour la planification, la gestion et l’exécution de tous les processus avec les clients existants et potentiels. Le logiciel de courtage winVS next permet de définir et d’automatiser les processus standards dans les relations clients. L’objectif visé est notamment la fidélisation optimale des clients: l’acquisition de nouveaux clients coûte jusqu’à cinq fois plus que l’utilisation optimale du potentiel des clients existants. Le client occupe une position centrale Dans le Customer Relationship Management CRM, le client potentiel et en particulier le client déjà existant occupent une position centrale. L’objectif systématiquement poursuivi est de fidéliser chaque client à long terme. Le système doit reconnaître en continu les clients qui sont particulièrement rentables et ceux qui pourraient par exemple avoir besoin dans l’immédiat d’un entretien de conseil supplémentaire. winVS next s’appuie sur «Microsoft Dynamics CRM» Le logiciel de courtage winVS next permet d’automatiser sur mesure le Customer Relationship Management CRM du courtier en assurances. La solution CRM «Microsoft Dynamics CRM» éprouvée est utilisée dans ce cadre et travaille en parfaite compatibilité avec Office et donc avec Word, Outlook, Excel, PowerPoint et Access. Les fonctions CRM sont disponibles dans le navigateur Web ou sont directement et entièrement intégrées dans l’environnement Outlook. Définir les processus standards Chaque entreprise, chaque courtier en assurances est différent. Au début d’un Customer Relationship Management CRM prometteur, il s’agit donc de définir ses «propres» processus standards dans le domaine des relations clients. Cela comprend par exemple les processus allant du prospect à la signature du contrat, la saisie de toutes les données et événements avec chaque client, y compris les évaluations de clients, l’ensemble des informations et de la communication avec les clients potentiels et existants ainsi que les résultats relatifs à chaque client. Automatiser les processus standards pour réduire les coûts et gagner en efficacité Grâce à la fonctionnalité Customer Relationship Management CRM intégrée au logiciel de courtage winVS next, il est possible d’automatiser l’ensemble des processus de suivi des clients au sens d’un système informatique intégré et de rendre ceux-ci plus efficaces et plus rentables. L’optimisation systématique des processus de suivi, de la saisie, de l’analyse et de la répartition des données permet au courtier en assurances d’offrir un pack de prestations vraiment conçu sur mesure pour répondre aux besoins du client et d’encadrer chaque client le mieux possible.
Vers la première partie de la série: la standardisation, une étape importante vers l’automatisation
Vers la deuxième partie de la série: automatiser le Customer Relationship Management
Andreas Merz (photo), cofondateur de winVS software AG, mais aussi fondateur et directeur de sa filiale META10, ne cesse de le souligner dans ses nombreuses séances d’information: «Dans les petites et moyennes entreprises de services, dont les courtiers en assurances font partie, les serveurs d’entreprise ont fait leur temps. Car après avoir pesé le pour et le contre, migrer vers le Secure Cloud s’avère judicieux.» Découvrez ici pourquoi.
La technologie de l’information (TI) dans le Secure Cloud
META10 AG propose depuis de nombreuses années aux petites et moyennes entreprises suisses orientées vers la prestation de services une infrastructure de technologie de l’information (TI) ultra-sécurisée et continuellement mise à jour adaptée à leur domaine dans le Secure Cloud – et ce à moindres frais. Cette solution permet aux entreprises d’utiliser leurs appareils comme leurs ordinateurs, smartphones et tablettes, mais aussi scanners et imprimantes, aussi bien dans leurs bureaux que partout dans le monde. Face au Secure Cloud, les serveurs d’entreprise ont fait leur temps. Les programmes toujours à la pointe de la technologie fonctionnent via une connexion Internet dans des centres de calcul situés en Suisse, où les données sont également dupliquées dans les règles de l’art et selon les obligations légales suisses.
Une réduction des coûts due à l’industrialisation
Pour expliquer la solution de Secure Cloud qu’il a élaborée de longues années durant, le directeur de META10 Andreas Merz fait l’analogie avec l’économie d’échelle dans l’industrie automobile: «Nous nous chargeons de la maintenance et de la mise à jour de tous les programmes requis et réalisons toutes les mesures de protection et les sauvegardes requises pour la sécurité des données et des systèmes pour ainsi dire à l’échelle industrielle pour l’ensemble des clients de nos centres de calcul. Cela engendre, pour chaque poste de travail, d’importantes économies par rapport au processus classique utilisant une infrastructure de technologie de l’information propre à l’entreprise.
Avocats, agents fiduciaires, administrations, conseillers de tous types et même courtiers en assurances
Les entreprises qui optent pour le Secure Cloud y ont accès via une plateforme. Celle-ci permet d’activer pour chaque poste de travail uniquement les programmes qui y sont réellement utilisés. Il s’agit des programmes d’usage courant et, bien entendu, de ceux spécifiques à la branche – pour les courtiers en assurances, cela implique notamment le logiciel de courtage. On ne paye donc pour chaque poste de travail que l’utilisation des programmes activés pour celui-ci. Tout est taillé sur mesure en fonction du besoin d’utilisation de programmes des collaborateurs intervenant. Une solution particulièrement adaptée aux avocats, agents fiduciaires, conseillers de tous types, entreprises du domaine de la finance, de l’immobilier et du recrutement – et également aux courtiers en assurances.
Kai Kunze, 48 ans (photo), Master en droit de l’Université de Lausanne et titulaire du diplôme d’«Insurance Management» de l’Université de Saint-Gall, a créé la start-up FinTech «Lings» le 3 juillet 2017, au siège du FinTech-Inkubator F10, Zürich, sur mandat du groupe d’assurances Generali. En tant que CEO de la start-up, il présente en commun avec ses trois collègues à la direction de «Lings» une carrière réussie chez Generali comme cadres dirigeants et spécialistes en assurances. Dans un entretien avec les «winVS-E-News», Kai Kunze révèle pourquoi il a osé s’investir dans une start-up au futur incertain, et comment il voit l’avenir du secteur des assurances. Découvrez ses réponses à nos questions.
Kai Kunze, pourquoi avez-vous rejoint la start-up «Lings»? Kai Kunze: Je suis un assureur! Des sinistres au développement de produits, à la gestion des ventes et à la souscription, j’ai travaillé dans toutes les fonctions principales des assurances. J’y ai appris à quel point une bonne couverture d’assurance est importante. Malheureusement, les clients continuent comme par le passé de considérer leur assurance comme un mal nécessaire. Avec «Lings», j’ai la chance unique de redéfinir l’assurance. L’objectif est que nos clients aiment leur assurance! Comment «Lings» a-t-elle vu le jour? Kai Kunze: Les clients de Generali informent régulièrement leur assureur de ce qu’ils attendent de lui. Avec les systèmes de technologies de l’information (IT), processus et objectifs actuels, il est cependant très difficile d’introduire de véritables nouveautés. Un grand groupe d’assurance n’a pas l’état d’esprit pour simplement introduire sur le marché un «Minimal Viable Product» (MVP), un «produit à viabilité minimale», et pour poursuivre son développement avec les clients ou, en cas d’échec, repartir à zéro rapidement et à moindres frais. Cette situation initiale a conduit Generali à créer la start-up «Lings». Quel est le mandat confié à «Lings»? Kai Kunze: Le mandat de la direction de Generali était très simple et courageux: «Vous quittez vos emplois actuels, vous avez neuf mois pour développer quelque chose et vous ne devez produire aucun rapport dans l’intervalle.» «Lings» a donc débuté le 1er juillet 2017 avec une page blanche. Près de quatre mois plus tard, nous sommes arrivés sur le marché avec la première assurance suisse sur demande pour objets. La composition de notre start-up n’est pas comparable à celle de Generali, cependant la maison-mère peut apprendre beaucoup de nous, et en particulier de nos erreurs! Comment «Lings» est-elle financée? Kai Kunze: À ses débuts en juillet 2017, «Lings» a été dotée d’un budget vraiment confortable pour une start-up – mais qui se trouvait cependant comparable, en valeur arrondie, à mon dernier budget «Corporate» en tant que Head Underwriting. En raison de nos débuts réussis sur le marché, Generali nous a accordé un financement jusque fin 2018. Actuellement, nous nous penchons aussi sur la forme juridique. L’objectif est de devenir une filiale de Generali en 2018. On trouve sous le lien https://www.lings.ch une offre d’assurance pour matériel photographique: en quoi cette offre est-elle innovante? Kai Kunze: Chez nous, le client décide à quel moment il a besoin d’une couverture d’assurance. Il peut l’activer ou la désactiver n’importe quand sur son smartphone. La couverture d’assurance est complète et nous misons sur la transparence. Nos conditions générales elles-mêmes sont rédigées d’une manière si simple que nos clients les lisent vraiment. Et pour finir, nous n’avons pas de conflit d’objectifs avec nos clients, car nous prenons une part de frais fixe. Si nos primes encaissées sont plus élevées que la charge des sinistres, nous faisons don de l’excédent à une œuvre d’intérêt général. Nous ne gagnons donc rien à refuser des sinistres. Pourquoi commencer précisément avec des appareils photos? Kai Kunze: Oui, pourquoi précisément des appareils photo: il est important pour nous de comprendre les besoins de nos clients. Pour cela, nous nous présentons de manière très ciblée sur le marché. Comme Roger Schüeber, notre Chief Marketing Officer, est passionné de photographie, entrer dans la communauté des gens qui aiment photographier était un pas logique. Nous nous occupons maintenant de développer d’autres communautés. Nous allons bientôt élargir considérablement notre présence. Quelles sont les innovations prometteuses que «Lings» nous concocte en matière d’assurance? Kai Kunze: Nous avons une longue liste d’idées que nous aimerions bien mettre en œuvre. Mais nous ne le faisons que si cela a un sens pour nos clients. Au lieu de simplement nous pavaner avec nos idées sur le marché, nous parlons avec nos clients et définissons ensemble les priorités concernant les prochaines étapes. Dans cette optique, les prochains mois vont essentiellement viser l’amélioration de l’expérience client. De plus, nous devons maintenant investir aussi dans notre administration, car nous avons bien plus de clients que prévu. Quel sera l’impact des solutions FinTech dans le domaine des assurances sur les activités classiques des assurances? Kai Kunze: Dans le domaine de la technologie financière, ou en abrégé FinTech, il existe dans le secteur des assurances de nombreux développements très intéressants, mais aussi beaucoup de battage publicitaire et de solutions qui passent à côté des besoins des clients. La plupart des solutions FinTech occupent la niche de la relation client. Ceci parce que le secteur classique des assurances continue d’agir de manière trop compliquée et en gardant ses distances. Les solutions FinTech visent principalement un traitement plus rapide et mieux axé sur les clients. Ceci ne sera pas possible sans des ajustements essentiels et douloureux dans les organisations des assureurs. Les FinTechs ont donc une très bonne chance d’occuper une partie de la chaîne de valeur. Pour cette raison, il faudra poursuivre la spécialisation chez les courtiers et les intermédiaires. Les intermédiaires doivent impérativement réfléchir aux prestations qu’ils peuvent proposer aux clients et qui soient meilleures et plus efficaces qu’une application électronique ou un service de comparaison. Comment des solutions d’assurance FinTech peuvent-elles être combinées à des offres comme Airbnb? Kai Kunze: Voici ce que nous pouvons apprendre d’offres comme Airbnb, un marché de communauté pour la réservation et la mise en location d’hébergements privés: il faut rigoureusement s’orienter sur les besoins des clients. De plus, une location temporaire engendre aussi bien chez le loueur que chez le locataire le besoin passager correspondant pour une couverture d’assurance temporaire et facile à souscrire. Pourriez-vous également vous imaginer dans ce cas une assurance gratuite qui s’autofinance grâce à la publicité? Kai Kunze: Une assurance gratuite financée par la publicité va à l’encontre de tout ce que nous connaissons jusqu’à présent dans le secteur des assurances. J’ai comme une intuition qu’une assurance gratuite qui se finance par exemple par le biais de la publicité pourrait bientôt voir le jour. Actuellement, aucun assureur établi n’aurait de réponse à ce sujet. Comment vous représentez-vous le secteur des assurances du futur? Kai Kunze: Le besoin élémentaire de couverture d’assurance dans de nombreux domaines de la vie existera toujours. Je crois qu’il y aura à l’avenir de très nombreuses solutions simples à souscrire, liées à des événements précis et donc temporaires, par exemple: une couverture intégrale temporaire pour les vacances, pour un acte risqué, pour la location d’un objet ou une expédition par un moyen de transport. Un autre thème pour l’avenir est de déterminer si les nouvelles technologies, comme la «block chain», permettent de proposer des assurances sans assureurs. Cela est déjà possible pour les besoins de couverture simples et clairs, mais pas encore pour des événements plus complexes. Quelle est l’idée inspirante que vous souhaitez impérativement communiquer à nos lectrices et lecteurs en raison de votre expérience actuelle avec les solutions FinTech? Kai Kunze: Lorsque je compare mon travail dans une entreprise classique avec les expériences vécues dans une start-up, mon conseil à toutes les entreprises est le suivant: créez vos propres start-ups internes! Vous apprendrez et gagnerez tellement à le faire. Et d’une manière générale: parler moins, agir plus!
Ja, das stimmt, Ihr habt die Beste Software entwickelt, die es für die Broker je gegeben hat. Ich war der Erste, der diese Software als Ganz-Paket gekauft hatte und bis zum heutigen Tag noch nie einen Datenverlust zu verzeichnen gehabt. Ich bin heute 74 Jahre Jung und arbeite noch immer mit dieser Software.Euch Lieben für die Zukunft nur das Beste wünschendInvestment Marketing Schranzhofer & Partner