Ein digitaler Policen-Shop
«Simpego» ist ein digitaler Policenshop für Versicherungen aus allen Bereichen: Reisen, Hausrat Mobilität, Motorfahrzeuge, Haustiere. Bei den Personenversicherungen wird auf Profile wie «Abenteurer», Geschäftsreisende» und «Familien» gezielt. Den Nutzerinnen und Nutzern wird empfohlen, wie die Versicherungen optimal kombiniert werden. Ziel ist, die Auswahl unter den Versicherungsprodukten zu erleichtern und vollkommen durchsichtig darzustellen.
Regulierungstechnisch ein Broker
Regulierungstechnisch ist die «Simpego»-Betreiberin Creadi ein Broker. Das Geschäftsmodell beruht auf Vermittlungsgebühren. Dabei soll den Nutzerinnen und Nutzern ein umfassender Service geboten werden, der über den blossen Versicherungsschutz hinausgeht. Désirée Mettraux, Geschäftsführerin von Creadi, unterstreicht: «InsurTechs wie wir bieten Versicherungsprodukte an, die aufs Individuum zugeschnitten sind. Die Kunden werden vor, während und nach dem Abschluss optimal betreut. Wir arbeiten mit allen Versicherungen zusammen, die gute Produkte haben. Wir sind technisch so ausgereift, dass wir mit jeder Technologiereife des Versicherungspartners umgehen können. Es kommen immer mehr zu uns, das Interesse der Versicherungen ist gross.»
Welches sind die Pläne für die Zukunft?
Laut der «Handelszeitung» sollen künftig auch Funktionen entwickelt werden, die anzeigen, in welchen Bereichen Versicherte überversichert und in welchen sie unterversichert sind. Auch ins Auge gefasst werden Angebote für sehr kleine Unternehmen. Dazu gehören Freischaffende sowie digitale Nomaden, die alleine oder nur mit ganz wenigen Mitarbeitenden arbeiten. Dabei soll dann auch die berufliche Vorsorge eingeschlossen werden.
Une boutique numérique de polices d’assurances
«Simpego» est une boutique numérique d’assurances couvrant tous les domaines: voyages, mobilité, inventaire du ménage, véhicules motorisés, animaux domestiques. Dans le domaine des assurances des personnes, des profils tels que «aventuriers», «voyageurs d’affaires» et «familles» sont ciblés. La manière de combiner les différentes assurances sous forme optimale est recommandée aux utilisatrices et utilisateurs. Le but visé consiste à faciliter la sélection parmi les produits d’assurance et à les présenter en toute transparence.
Statut de courtier
L’exploitant de «Simpego» Creadi a le statut d’un courtier. Le modèle commercial repose sur des frais de courtage. Dans ce contexte, il s’agit de proposer aux utilisatrices et utilisateurs un service complet qui dépasse le cadre de la simple couverture d’assurance. Désirée Mettraux, gérante de Creadi, souligne: «Les actuaires que nous sommes proposent des produits d’assurance personnalisés. Les clients sont encadrés sous forme optimale avant, durant et après la souscription. Nous travaillons avec toutes les assurances qui proposent des produits de qualité. Sur le plan technique, nous sommes si pointus que nous pouvons traiter tout niveau technologique du partenaire en assurances. Vivement intéressés, les assureurs sont de plus en plus nombreux à nous rejoindre.»
Quels sont les projets pour l’avenir?
Selon le «Handelszeitung», des fonctions indiquant dans quels domaines des assurés sont respectivement trop ou insuffisamment assurés seront conçues à l’avenir. Des offres pour très petites entreprises sont également envisagées. Tant des libéraux que des nomades du numérique, qui travaillent seuls ou avec un nombre très réduit de collaborateurs, en font partie. La prévoyance professionnelle doit être aussi incluse.
Marco Keller, 40 ans (photo), est directeur des finances et de l’administration du groupe de courtiers en assurances ARISCO , à Baar. L’entreprise, née de la réunion de courtiers et de conseillers en 2011, qui emploie près de 50 collaborateurs et est implantée à Zoug, Lucerne, Zurich, Egg, Adligenswil et Herisau, introduit actuellement un nouveau système informatique. Le spécialiste en assurances et économiste d’entreprise diplômé de l’Institut d’économie de l’Université de Saint-Gall explique dans le deuxième entretien accordé à winVS-E-News les points auxquels les courtiers en assurances doivent faire particulièrement attention lors du déploiement d’un nouveau système informatique.
Marco Keller, quelles sont les principales étapes de votre processus de déploiement? Marco Keller: Après les phases approfondies d’analyse, de consolidation et de nettoyage, nous sommes actuellement dans la phase d’essai de la migration: la phase d’essai a commencé début février. Nous avons parallèlement préparé les formations, qui sont prévues pour mars et avril. Si tout se déroule comme prévu, nous passerons au déploiement en mai. Quelle est votre charge de travail en tant que responsable du projet de déploiement et qui vous assiste dans votre tâche? Marco Keller: Je consacre chaque semaine environ huit à dix heures à la gestion du projet de déploiement. De plus, je suis assisté efficacement par une équipe de projet interne. Il s’agit de collaborateurs «ayant des affinités avec l’informatique», qui connaissent très bien les systèmes actuels et les processus sur nos six sites. Ils font de précieuses suggestions pour le déploiement de «winVS next» et aident à nettoyer les données. Comment se déroule la collaboration et la répartition des rôles avec le fournisseur du logiciel? Marco Keller: Cette collaboration se déroule très bien jusqu’ici. Les points essentiels du projet ont été définis ensemble, puis traités de manière structurée. Des réunions de statut ont régulièrement lieu, au cours desquelles les questions actuelles sont discutées et la suite de la procédure définie. Je constate dans ce cadre que la flexibilité du logiciel et du partenaire, telle que promise dans la phase de l’offre, est chose réelle et vécue dans le projet. Cela nous permet de trouver des solutions constructives qui nous font avancer. Quels ont été jusqu’à présent les points sensibles et éventuellement les imprévus que vous avez rencontrés pendant le processus de déploiement? Marco Keller: Au stade préliminaire du projet, il était déjà prévisible que la réunion de quatre banques de données clients séparées induirait un travail considérable de nettoyage. Ce point s’est confirmé au cours du projet, mais il a été très bien soutenu et accompagné par le partenaire. Lors de mes projets de logiciels précédents, j’étais habitué au fait qu’on pouvait avoir accès au nouveau système à un stade précoce du projet et qu’on pouvait tester dessus certains thèmes. Avec winVS next, cela n’a pas été possible avant le premier essai de migration, du fait de l’architecture du logiciel. La phase d’essai me procure donc une grande joie car j’ai maintenant accès pour la première fois au nouveau système et aux données migrées. Sur la base de votre toute dernière expérience, de quoi faut-il tenir compte lors du déploiement d’un nouveau logiciel de Courtage? Marco Keller: L’introduction d’un nouveau logiciel s’accompagne de nombreuses questions à clarifier et décisions à prendre. Il est important de garder toujours à l’esprit les besoins des collaborateurs car ils devront travailler tous les jours avec le nouveau logiciel après le «going live». De plus, il faut toujours réussir à garder une vue d’ensemble des nombreux points importants. Nous y parvenons grâce au cahier des charges, que nous utilisons désormais, après la phase d’offre, avec rigueur pour le déploiement ainsi que pour les prochains essais. Il est aussi très important de toujours impliquer les personnes concernées. Une équipe de projet interne bénéficiant d’un vaste appui doit permettre de faire des personnes concernées des participants qui s’impliquent activement dans le déploiement. Cela augmente considérablement l’acceptation interne du nouveau système. Votre conseil final à nos lectrices et lecteurs? Marco Keller: Même si un tel projet logiciel pose quelques exigences en termes de ressources internes, cet investissement dans l’avenir en vaut la peine. Ceci vaut tout particulièrement à notre époque, où le thème de la numérisation des affaires – le mot clé étant ici «FinTech» – se retrouve de de plus en plus au centre des préoccupations d’un nombre croissant de responsables dans le secteur des assurances et du courtage. À propos du groupe ARISCO Le groupe ARISCO, sous l’enseigne de l’ARISCO Holding AG, à Baar, est né en 2011 de la réunion d’un groupe d’entreprises de courtage en assurances et de conseil, qui avaient déjà travaillé en étroite collaboration auparavant. Avec des implantations à Zoug, Lucerne, Zurich, Egg, Adligenswil et Herisau et près de 50 collaboratrices et collaborateurs, le groupe fait partie des plus gros courtiers en assurances indépendants à l’échelon national. Il dispose de contacts directs avec tous les principaux fournisseurs de prestations d’assurances sur le marché suisse. Il propose une offre de prestations globale dans les secteurs des assurances, de la prévoyance professionnelle et privée, de la gestion de patrimoine, du recours, du conseil juridique hors couverture d’assurance, de la gestion des absences et du case management. La majorité des dirigeants actifs dans l’entreprise viennent de l’Arisco Holding AG. Tous les collaborateurs ont la possibilité de participer à l’entreprise. L’actionnariat englobe actuellement 20 personnes. Seules cinq d’entre elles sont des personnes externes. Les filiales opérationnelles ARISCO Versicherungen AG, ARISCO Vorsorge AG, ARISCO Dienstleistungen AG et SEH Versicherungsbroker AG sont détenues à cent pour cent par la société mère.