Elektronische Newsletter sind trotz der heiss diskutierten Sozialen Medien der unbestrittene Renner des Online-Marketings. Das Schöne daran: Mit den im Internet zu findenden, einfach zu bedienenden Newsletter-Tools kann jedes Unternehmen und damit jeder Versicherungsbroker problemlos einen eigenen E-Newsletter kreieren. Es lohnt sich, rasch zu starten.
Elektronische Newsletter haben viele Vorteile
Im Blog «Die 16 besten Newsletter-Tools, um mit E-Mail Marketing durchzustarten» unterstreicht der Autor Robert Brandl die vielen Vorteile der elektronischen Newsletter:
Auf was technisch besonders zu achten ist
Weil die elektronische Newsletter-Produktion so einfach geworden ist, erhalten die Menschen heute entsprechend viele Angebote für solche Publikationen. Damit die Leserinnen und Leser nicht verärgert werden, sollten technisch namentlich zwei Dinge erfüllt sein: Erstens, der Newsletter ist mit einer Ein-Klick-Abmeldungsmöglichkeit jederzeit und sofort kündbar. Zweitens muss sich der Newsletter genau wie eine zeitgemässe Internetseite dem jeweiligen Endgerät wie Desktop, Smartphone oder Tablet in der Darstellung anpassen.
Einige bewährte Newsletter-Tools
Malgré l’engouement pour les réseaux sociaux, l’emailing reste l’outil incontournable du marketing en ligne. L’avantage: avec les logiciels de newsletter disponibles sur Internet, chaque entreprise et donc chaque courtier en assurances peut créer sans problème sa propre newsletter électronique. Cela vaut la peine de s’y mettre sans tarder.
Les nombreux atouts de l’emailing
Sur le blog «Comparatif logiciel emailing : les 11 meilleurs outils sur le marché francophone», Robert Brandl souligne les nombreux avantages de la newsletter électronique:
Les caractéristiques techniques à prendre en compte
La production de newsletters électroniques est devenue si simple que les offres dans ce domaine font aujourd’hui foison. Pour éviter tout désagrément à vos lecteurs et lectrices, voici deux éléments auxquels vous devez prêter attention. Premièrement, la newsletter doit être résiliable en un clic, instantanément et à tout moment. Deuxièmement, tout comme un site Internet moderne, la newsletter doit s’adapter à l’écran (ordinateur, smartphone ou tablette) utilisé pour la lire.
Quelques outils d’emailing éprouvés
Plus besoin de désenvelopper et scanner les factures
Depuis le 1er janvier 2016, les fournisseurs de la Confédération sont dans l’obligation d’envoyer des factures électroniques. L’échange sans papier permet de traiter les factures avec une plus grande efficacité. Par exemple, il n’est plus nécessaire de les désenvelopper et de les scanner, et les données de facturation peuvent être plus simplement intégrées dans le système comptable.
400 000 e-factures
Depuis la prise d’effet de cette obligation, la part des e-factures a pu être augmentée en continu de 14 pour cent en décembre 2014 à 57 pour cent en mai 2018. Cela correspond à environ 400 000 sur 700 000 factures par an au total. L’obligation ne concerne pas toutes les factures, les petits achats en sont exclus. De plus, toutes les factures adressées à l’administration fédérale ne proviennent pas d’une relation avec des fournisseurs.
Le code QR facilite le traitement de factures au format PDF
L’administration fédérale entend augmenter encore la part des e-factures. De ce fait, elle propose à ses fournisseurs diverses possibilités d’envoi des e-factures. Depuis le 1er janvier 2018, les e-factures peuvent être aussi envoyées sans signature numérique. Cela simplifie considérablement l’établissement de factures électroniques pour les fournisseurs. Dès à présent, la Confédération accepte également l’envoi électronique de factures au format PDF. Le remplacement du bulletin de versement par un code QR sur le document de facturation, qui devrait entrer en vigueur en 2019, facilite encore le post-traitement automatique de factures au format PDF.
La Confédération entend maintenir son approche pragmatique
Comparativement à la Suisse, les pays voisins appliquent des règlementations plus strictes en matière de facturation électronique. Le Conseil fédéral tire toutefois un bilan positif de l’introduction de l’e-facture en Suisse et souhaite maintenir son approche pragmatique basée sur un partenariat sans amplifier les obligations y afférentes.