Michael John, âgé de 48 ans (photo), est depuis des années le moteur de la numérisation complète du marché du courtage en assurances en tant que président de la communauté D'intérêts IG B2B pour assureurs + courtiers. En particulier, IG B2B vise à créer les normes et interfaces reconnues pour le commerce électronique entre assureurs, courtiers et clients. Comme Michael John l'a souligné dans son entretien avec le bulletin d'informations de winVS, l'initiative de courtage en 2018 marque une étape importante dans la digitalisation du marché du courtage. Lisez pourquoi et comment ça se passe.
Michael John, est-ce que vous êtes le propriétaire de l'IG B2B pour les assureurs et les courtiers?
Michael John: Très bien. L'association s'est développée de manière positive au cours des dernières années et, avec l'initiative des brokers en 2018, nous avons franchi une étape importante: la digitalisation complète des processus les plus importants sur le marché du courtage.
A quoi, à part la digitalisation, les courtiers d'assurance sont-ils actuellement les plus confrontés ?
Michael John: Le monde de l'assurance évolue rapidement. C'est un grand défi pour tous les courtiers. Cependant, ces changements offrent d'énormes possibilités de servir les clients de manière encore plus complète et de mieux s'intégrer dans leur cœur de métier. De nos jours, de nombreuses tâches qui prennent beaucoup de temps, comme l'administration de portefeuilles ou les appels d'offres, sont de plus en plus souvent gérées par des machines. A l'avenir, la création de valeur devra donc se faire principalement dans d'autres domaines. À l'avenir, les courtiers deviendront de plus en plus des conseillers sur les questions liées au risque. Aujourd'hui, le type prédominant de consultation en assurance ne sera qu'un aspect des futures activités de courtage.
Pourquoi la numérisation est-elle si résineuse?
Michael John: La digitalisation dépend de différentes conditions-cadres qui ne peuvent pas être créées du jour au lendemain. Il faut en particulier trois conditions: Premièrement, les assureurs doivent pouvoir mettre leurs données à la disposition du marché sous forme numérique. Deuxièmement, les fabricants de logiciels de courtiers doivent adapter leur logiciel à l'exécution automatisée des processus. Troisièmement, les courtiers doivent adapter leurs processus et services internes et se doter des technologies appropriées. Tout cela prend du temps. Seuls les cycles de planification de projet et les cycles de mise en œuvre de projet des assureurs et des fabricants de logiciels de courtage prennent des années. Nous sommes heureux que tous les acteurs du marché aient progressé à la suite de l’initiative des courtiers en 2018. Ceux qui s’occupent à temps de tous les problèmes liés à la numérisation auront tout le loisir de se préparer pour l’avenir.
Qu'est-ce qui amène l'initiative de courtier 2018 en particulier?
Michael John: IG B2B vise à coordonner la mise en œuvre de projets de digitalisation sur le marché avec l'initiative Broker Initiative 2018, afin que les acteurs du marché puissent bénéficier des avantages de la collaboration automatisée dès que possible. Cependant, cela prend du temps : quelques années s'écoulent avant que même le dernier assureur puisse travailler numériquement avec les courtiers. Toutefois, nous sommes reconnaissants que les grands assureurs mettent maintenant en œuvre la digitalisation des processus de base dans leurs activités d'entreprise. Ils créent ainsi une bonne base pour le développement de solutions innovantes.
Quelles sont les spécifications du service DXP (Data Exchange Proxy) associé à Broker Initiative 2018 ? Que doivent faire les courtiers individuels pour que cela fonctionne à leur place?
Michael John: Il faut deux choses pour travailler numériquement en tant que courtier: Premièrement, un logiciel de courtier qui se connecte au service DXP (Data Exchange Proxy) de IG B2B et est ainsi capable de traiter les processus centraux numériques. Deuxièmement: Soyez prêt à ajuster les dix communication processus de base et de l'information, la création de contrats, l'approvisionnement, les êtres de mandat des dommages, des citations, des factures et des rappels, le rendement des dégâts, l'administration des contrats, et l'ajustement du contrat aux nouvelles opportunités numériques. Dans de nombreuses entreprises, il s'agit d'un processus à plus long terme. C'est pourquoi il est utile que chaque courtier s'implique le plus tôt possible afin d'acquérir une compréhension correspondante de la technologie et d'identifier à temps les opportunités correspondantes pour sa propre entreprise grâce à la numérisation. Bien sûr que si : Au cours des prochaines années, des solutions numériques à fort potentiel verront le jour.
Une question complètement différente à propos de la numérisation : comment évaluez-vous les opportunités futures des marchés de l'assurance numérique tels que Simpego, wefox, anivo?
Michael John:Je pense que certains des marchés de l'assurance numérique vont prendre une place dans le paysage de l'assurance. En général, je suppose que la spécialisation conduira à un éventail beaucoup plus large de modèles économiques au cours des prochaines années. Dans le futur écosystème de l’assurance, les prestataires ne se concentreront souvent que sur quelques compétences essentielles. En reliant numériquement ces solutions, les offres pour le client seront personnalisées et mises sur le marché à un niveau très élevé. Dans le même temps, cette spécialisation améliore également la création de valeur par chacun.
Que fait IG B2B dans ce domaine?
Michael John: IG B2B est déjà en train de construire des plates-formes qui relient les courtiers, les assureurs et les prestataires de services. Ensemble, ils créent de la valeur ajoutée pour eux-mêmes et, surtout, pour leurs clients.
La numérisation des activités de courtage est-elle irréversible?
Michael John: Oui, il ne s'agit plus de savoir si l'activité de courtage sera numérisée ou non. Ce n'est qu'une question de temps. Je vois d'énormes opportunités pour les acteurs actuels du marché dans ce développement imparable. Il est donc indispensable que tout le monde aborde ces sujets, même si cela peut paraître difficile au début. Ceux qui ont enfin parcouru la "Vallée des Larmes" seront prêts à récolter une riche récolte dans le nouveau monde numérique.
Qu'y a-t-il d'autre à dire aux courtiers d'assurance de la part du président d'IG B2B?
La tâche centrale d'IG B2B consiste à créer une base dans le nouveau monde numérisé pour les grands, moyens et petits courtiers et à assurer simultanément la coopération numérique avec les assureurs, basée sur un partenariat. Soutenez-nous en commençant à travailler avec les nouvelles technologies et faites connaître vos intentions en matière de digitalisation dans le cadre de l'Initiative des courtiers en 2018. Si ce n'est pas déjà fait: inscrivez-vous pour l'initiative de courtier. Merci
Ein mutiger Entscheid vor rund zehn Jahren
Die winVS software AG hat vor rund zehn Jahren den mutigen Entscheid gefasst, die damals erfolgreiche Brokersoftware «winVS office» auf der Grundlage der wegweisenden «Microsoft Dynamics CRM»-Plattform auf den neusten Stand der Technologie zu bringen. Die Software wurde unter dem Namen «winVS next» von Grund auf neu geschrieben. Ziel war es, den Versicherungsbrokern die sich abzeichnende Digitalisierung und Automatisierung aller Geschäftsprozesse reibungslos zu ermöglichen. In all den Jahren ist die Brokersoftware «winVS next» weiter stets vervollkommnt und auf dem jeweils neusten Stand der Technologie gehalten worden. Die Nutzer von «winVS next» sind daher bestens gerüstet, bei der von der Interessengemeinschaft IG B2B for Insurers + Brokers angestrebten umfassenden Digitalisierung des Versicherungsbrokergeschäfts an der Spitze mitzumachen.
Belohnung für die stetigen Innovationsanstrengungen der winVS software AG
Am BrokerConvent 2018 vom 31. Oktober 2018 in der BERNEXPO wurden zum ersten Mal die IG B2B-Awards vergeben. Die Mitglieder der IG B2B stimmten darüber ab, welche Unternehmen die grössten Schritte bei der Umsetzung der Kernprozesse gemacht haben. Grundlage hierfür bildeten Projektbeschreibungen von Mitgliedern, die die Absichtserklärung zur BrokerInitiative 2018 unterzeichnet haben. Als Belohnung für die stetigen Innovationsanstrengungen im Sinne der Brokerinitiative 2018 ist die winVS software AG für ihre Brokersoftware «winVS next» in der Kategorie «Brokersoftwarehersteller» mit dem «IG B2B-Award 2018» ausgezeichnet worden.
Zusammenarbeit Broker, Versicherer und Softwarehersteller
Der BrokerConvent 2018 mit rund 300 Teilnehmerinnen und Teilnehmern stand unter dem Motto «Die Digitalisierung treibt den Markt». Michael John, Präsident der der Interessengemeinschaft IG B2B for Insurers + Brokers, unterstreicht, dass der BrokerConvent hervorragend aufzeige, wie Broker, Versicherer und Softwarehersteller gemeinsam den Markt weiterentwickeln und Impulse setzen. Am Convent wird namentlich hervorgehoben, wie sich die IG B2B zu einer zukunftsweisenden digitalen Plattform entwickelt, die mit Amazon, Uber oder Apple technologisch vergleichbar ist. Des Weiteren wird über die Fortschritte der Brokerinitiative 2018 berichtet. Bis im Herbst 2020 sollen Broker und Versicherer mittels der IG B2B-Kernprozesse komplett digitalisiert zusammenarbeiten können. Als Vision wird überdies eine Studie zum Thema «Blockchain im Ökosystem der IG B2B» vorgestellt. Ergebnis der Studie: Die IG B2B und ihr Ökosystem eignen sich hervorragend für Blockchain-Anwendungen, da viele Grundlagen bereits vorhanden sind.
Michael John, wie geht es der IG B2B for Insurers and Brokers?
Michael John: Sehr gut. Der Verein hat sich in den letzten Jahren positiv entwickelt und mit der BrokerInitiative 2018 haben wir einen wichtigen Meilenstein erreicht: die flächendeckende Digitalisierung der wichtigsten Prozesse im Brokermarkt.
Von was sind die Versicherungsbroker neben der Digitalisierung derzeit am meisten herausgefordert?
Michael John: Die Versicherungswelt verändert sich rasant. Dies ist eine grosse Herausforderung für alle Broker. Diese Veränderungen bieten aber enorme Chancen, die Kunden noch umfassender zu betreuen und sich besser in das Kerngeschäft der Kunden zu integrieren. Viele heute zeitintensive Aufgaben wie die Portefeuilleadministration oder die Offertausschreibungen werden mehr und mehr von Maschinen übernommen. Die Wertschöpfung muss also künftig hauptsächlich in anderen Bereichen erfolgen. Broker werden in Zukunft viel mehr zu Beratern in Fragen rund um das Thema Risiko. Die heute vorherrschende Art der Versicherungsberatung wird nur noch ein Aspekt der künftigen Brokertätigkeit sein.
Weshalb läuft die Digitalisierung so harzig?
Michael John: Die Digitalisierung ist abhängig von verschiedenen Rahmenbedingungen, welche nicht von einem Tag auf den anderen geschaffen werden können. Es braucht namentlich drei Voraussetzungen: Erstens: Die Versicherer müssen ihre Daten dem Markt digital zur Verfügung stellen können. Zweitens: Die Brokersoftwarehersteller müssen ihre Software fit machen für die automatisierte Prozessabwicklung. Drittens: Die Broker müssen ihre internen Prozesse und Dienstleistungen anpassen und sich mit den entsprechenden Technologien ausrüsten. Dies alles braucht seine Zeit. Nur schon die Projektplanungszyklen sowie die Projektumsetzungszyklen bei Versicherern und Brokersoftwareherstellern dauern teilweise Jahre. Wir sind froh, dass sich nun alle Marktteilnehmer im Zuge der BrokerInitiative 2018 vorwärtsbewegen. Wer sich rechtzeitig mit all den Themen rund um die Digitalisierung auseinandersetzt, hat genügend Zeit, sich für die Zukunft fit zu machen.
Was bringt denn die BrokerInitiative 2018 im Besonderen?
Michael John: Die IG B2B strebt an, mit der BrokerInitiative 2018 die Umsetzung der Digitalisierungsprojekte im Markt aufeinander abzustimmen, damit die Marktteilnehmer möglichst bald von den Vorteilen der automatisierten Zusammenarbeit profitieren können. Allerdings braucht das seine Zeit: Bis auch der letzte Versicherer digital mit den Brokern zusammenarbeiten kann, werden sicher noch ein paar Jahre vergehen. Wir sind allerdings dankbar, dass die grossen Versicherer im Unternehmensgeschäft die Digitalisierung der Kernprozesse nun umsetzen. Sie schaffen damit eine gute Grundlage für die Entwicklung von innovativen Lösungen.
Welches sind die Spezifikationen des mit der BrokerInitiative 2018 verbundenen DXP(Data Exchange Proxy)-Service: Was müssen die einzelnen Broker tun, damit das bei ihnen läuft?
Michael John: Es braucht zwei Dinge, um als Broker digital arbeiten zu können: Erstens: Eine Brokersoftware, die an den DXP(Data Exchange Proxy)-Service der IG B2B angeschlossen und somit in der Lage ist, die digitalen Kernprozesse zu verarbeiten. Zweitens: Bereit sein, die zehn Kernprozesse Kommunikation und Information, Vertragserstellung, Provisionierung, Mandatswesen, Schaden, Offerten, Rechnungen und Mahnungen, Schadenrendement, Vertragsverwaltung sowie Vertragsregulierung an die neuen digitalen Möglichkeiten anzupassen. Das ist in vielen Unternehmen ein längerfristiger Prozess. Aus diesem Grund lohnt es sich für jeden Broker, möglichst früh einzusteigen, um ein entsprechendes Technologieverständnis aufzubauen und entsprechende Opportunitäten für das eigene Geschäft durch die Digitalisierung rechtzeitig zu erkennen. Sicher ist: In den nächsten Jahren werden digitale Lösungen entstehen, die ein grosses Potenzial haben.
Eine ganz andere Frage im Zusammenhang mit der Digitalisierung: Wie beurteilen Sie die Zukunftschancen von digitalen Versicherungsmarktplätzen wie Simpego, wefox, anivo?
Michael John: Ich denke, einige der digitalen Versicherungsmarktplätze werden sich einen Platz in der Versicherungslandschaft erobern. Generell gehe ich davon aus, dass es in den nächsten Jahren durch die Spezialisierung zu einer viel grösseren Bandbreite von Geschäftsmodellen kommen wird. Im künftigen Versicherungsökosystem werden sich die Anbieter vielfach nur noch auf wenige Kernkompetenzen konzentrieren. Durch die digitale Verknüpfung dieser Lösungen werden die Angebote für den Kunden massgeschneidert und auf qualitativ sehr hohem Niveau in den Markt gestellt werden können. Gleichzeitig lässt sich durch diese Spezialisierung auch die eigene Wertschöpfung verbessern.
Was macht die IG B2B in diesem Bereich?
Michael John: Die IG B2B baut bereits an Plattformen, über die sich Broker, Versicherer und Dienstleister miteinander verknüpfen. Gemeinsam werden damit für sich selbst, aber vor allem auch für die Kunden Mehrwerte geschaffen.
Ist die Digitalisierung des Brokergeschäfts irreversibel?
Michael John: Ja, es ist nicht mehr die Frage, ob das Brokergeschäft digitalisiert werden wird oder nicht. Es geht nur noch darum, in welcher Zeit dies geschieht. Ich sehe für die aktuellen Marktteilnehmer enorme Chancen in dieser unaufhaltsamen Entwicklung. Es ist daher für alle ein Muss, sich mit diesen Themen zu beschäftigen, auch wenn dies zu Beginn schwierig erscheinen mag. Wer schlussendlich durch das «Tal der Tränen» gegangen ist, wird bereit sein, um in der neuen digitalisierten Welt eine reiche Ernte einfahren zu können.
Was gibt es den Versicherungsbrokern vom Präsidenten der IG B2B sonst noch Dringendes zu sagen?
Die zentrale Aufgabe der IG B2B besteht darin, in der neuen digitalisierten Welt eine Heimat zu schaffen für grosse, mittlere und kleine Broker und gleichzeitig die partnerschaftliche, digitale Zusammenarbeit mit den Versicherern sicherzustellen. Unterstützen Sie uns, indem Sie mit den neuen Technologien zu arbeiten beginnen und Ihre Absichten zur Digitalisierung im Rahmen der BrokerInitiative 2018 öffentlich machen. Wenn es noch nicht geschehen ist: Registrieren Sie sich für die BrokerInitiative. Herzlichen Dank.
Aktuelle und potenzielle Nutzerinnen und Nutzer unserer Brokersoftware, Techniker, Supporter und Gäste treffen sich auch 2018 neunmal an einem Freitag von 14 bis 16 Uhr zum «winVS open friday» an der Haldenstrasse 5 in Baar. Die Einladungen zu den Anlässen werden jeweils rechtzeitig versandt. Es wird 2018 wiederum drei Anlassserien von jeweils drei Monaten geben. In jeder Serie wird an den ausgewählten Freitagen von zwei Monaten ein spannendes Thema vertieft und am ausgewählten Freitag des dritten Monats eine Diskussion über den Einsatz der Brokersoftware «winVS next» geführt. Lesen Sie, welche Themen 2018 auf Sie warten.
Das sind die drei Themen, die 2018 an den «winVS open fridays» vertieft werden
Wir werden Sie jeweils rechtzeitig mit allen Details zum «winVS open friday» einladen.
«Entschädigungen an den Versicherungsvermittler, die aus dem Vorsorgevermögen bezahlt werden, sind nicht im Interesse der Versicherten», steht in der im Parlament hängigen Botschaft des Bundesrats zur Modernisierung der Aufsicht der AHV. Eine Studie der Universität St.Gallen dagegen verteidigt das bestehende Courtagensystem in der beruflichen Vorsorge. Lesen Sie hier, um was es in dieser für die Versicherungsbroker folgenreichen Auseinandersetzung geht.
Geplanter Artikel im Berufsvorsorgegesetz
«Der Bundesrat regelt, unter welchen Voraussetzungen Vorsorgeeinrichtungen für die Vermittlung von Vorsorgegeschäften Entschädigungen bezahlen dürfen und Versicherungseinrichtungen solche Entschädigungen ihrer getrennten Betriebsrechnung für die berufliche Vorsorge belasten dürfen», steht im Entwurf zu einem neuen Artikel 69 im Berufsvorsorgegesetz. Dieser Artikelentwurf ist Teil der im Parlament hängigen «Modernisierung der Aufsicht in der 1. Säule und Optimierung in der 2. Säule der Alters-, Hinterlassenen- und Invalidenvorsorge». In der Botschaft zu diesem Reformprojekt äussert der Bundesrat glasklar seine Meinung zu den Courtagen an Versicherungsvermittler in der beruflichen Vorsorge: «Entschädigungen an den Versicherungsvermittler, die aus dem Vorsorgevermögen bezahlt werden, sind nicht im Interesse der Versicherten und deshalb mit dem Vorsorgeziel nicht vereinbar. Sie führen zu Fehlanreizen, die die bestehenden Verzerrungen (Risikoselektion) in der beruflichen Vorsorge noch verstärken. Der Bundesrat erachtet die aktuelle Situation als unbefriedigend und erklärte sich deshalb bereit, zu prüfen, welche Änderungen angezeigt sind. Er erhält neu im geplanten Artikel 69 des Berufsvorsorgegesetzes die Kompetenz, in der Verordnung zu regeln, unter welchen Voraussetzungen eine Vorsorgeeinrichtung für die Vermittlung von Vorsorgegeschäften Entschädigungen bezahlen darf.»
Studie verteidigt das gegenwärtige Courtagensystem
Die im Auftrag der Swiss Insurance Brokers Association ausgearbeitete und im Februar 2020 veröffentlichte Studie «Nutzen und Kosten der unabhängigen Versicherungsvermittlung (Versicherungsbroker) für Arbeitnehmer und Arbeitgeber in der beruflichen Vorsorge» der Universität St.Gallen kommt im Gegensatz zu den bundesrätlichen Erwägungen zum Schluss: «Als Fazit unserer Studie sehen wir im Bereich der Courtagen für unabhängige Versicherungsbroker in der beruflichen Vorsorge keinen grundlegenden Systemwechsel angezeigt. Im bestehenden System gibt es aber Optimierungspotenziale in den drei Bereichen Transparenz, Ausbildung und Haftung.»
Nutzen der reinen Honorarberatung ist nicht ersichtlich
Als ein Hauptgrund für die Verteidigung des gegenwärtigen Courtagensystems wird in der Studie der Universität St.Gallen aufgeführt: «In der Szenarioanalyse werden sechs Varianten einer Marktregulierung im Hinblick auf die zu erwartenden Auswirkungen evaluiert. Es verbleiben erhebliche Zweifel, ob durch die Einführung einer reinen Honorarberatung ein Nutzen aus Sicht des einzelnen Kunden wie auch aus der Sicht der Volkswirtschaft insgesamt erzielt werden kann. Dies insbesondere, weil der erhoffte Nutzen einer höheren Beratungsqualität nicht belegt werden kann, aber negative Folgen bereits relativ breit sichtbar sind.»
Es wird spannend sein zu beobachten, ob und wie in der kommenden politischen Diskussion über die Regulierung der Versicherungsbrokercourtagen im Bereich der Pensionskassen die Erkenntnisse der Studie der Universität St.Gallen eingehen. Wir bleiben am Ball.
Schaffung von gemeinsamen Standards
Gemeinsame Standards sind Bedingung für eine effiziente Zusammenarbeit im digitalen Raum. Um schneller von den Effizienzsteigerungen der Digitalisierung profitieren zu können, hat im November 2017 eine Gruppe von Brokern die BrokerInitiative 2018 gestartet. Das Ziel: Alle Beteiligten am Versicherungsmarkt, nämlich die Versicherer, Broker und Softwarehersteller, wenden für ihre Zusammenarbeit untereinander einheitliche digitale Prozesse an.
90 Prozent aller Broker sind bei der Interessengemeinschaft IG B2B for Insurers + Brokers
Derzeit sind mehr als 1'000 Brokerunternehmen Mitglied der IG B2B. Dies entspricht über 90 Prozent aller Broker in der Schweiz und im Fürstentum Liechtenstein. Diese Broker beschäftigen zusammen rund 6'500 Mitarbeitende.
DXP(Data Exchange Proxy)-Service als Grundlage
Grundlage der einheitlichen digitalen Prozesse ist die Digitalisierung der im Brokergeschäft entscheidenden zehn Kernprozesse: Kommunikation und Information, Vertragserstellung, Provisionierung, Mandatswesen, Schaden, Offerten, Rechnungen und Mahnungen, Schadenrendement, Vertragsverwaltung sowie Vertragsregulierung. Die IG B2B hat für deren automatisierte Nutzung den DXP(Data Exchange Proxy)-Service entwickelt. Er ermöglicht die automatisierte Übermittlung von strukturierten Daten. Die BrokerInitiative 2018 sieht bis 2020 eine Schritt-für-Schritt-Umsetzung der Kernprozesse bei Brokern und Versicherern vor. Parallel dazu implementieren die Softwarehersteller die vorhandenen Kernprozesse der IG B2B in ihre Software, damit die Broker diese nutzen können. Ziel ist es, dass alle Marktteilnehmer den DXP-Service für sämtliche Kernprozesse anwenden.
Vorteile für die Marktteilnehmer
Die Standardisierung bringt den Beteiligten administrative Entlastung und mehr Zeit für wertschöpfende Tätigkeiten. Der laufende Abgleich des Datenbestands in den Systemen führt zu Effizienzsteigerung und qualitativer Verbesserung in der Zusammenarbeit. Mit einer Teilnahme an der BrokerInitiative 2018 stellen die Marktteilnehmer zudem den künftigen Zugang zum gesamten Marktangebot sicher. Die Standardisierung mittels des DXP-Service ist die optimale Grundlage für die künftige digitale Abwicklung von Prozessen mit Kunden und Partnern, sei es über XML(eXtensible Markup Language)-Schnittstellen, andere Programmierschnittstellen (API’s) oder Blockchain. Aufgrund der bereits erreichten Nutzung des DXP-Service kann mit Fug und Recht festgestellt werden: Der DXP(Data Exchange Proxy)-Service der Interessengemeinschaft IG B2B for Insurers + Brokers hat es in der Schweiz zum Branchenstandard im Versicherungsbrokergeschäft geschafft.
Die Harmonisierung des Zahlungsverkehrs ist in der Schweiz in vollem Gange. Bis zum 30. Juni 2018 müssen alle Unternehmen ihre Buchhaltungssoftware auf den neuen Standard ISO 20022 umgestellt haben. Und nach Abschluss der Umstellung können Rechnungssteller ab Januar 2019 erste QR-Rechnungen verschicken, welche die regulatorischen Anforderungen im Zusammenhang mit der revidierten Geldwäschereiverordnung vollumfänglich erfüllen. Was ist zu tun?
Projekt «SEPA» seit 2012 am Laufen
Im März 2012 lanciert die Europäische Union EU das Projekt «Single Euro Payments Area – SEPA». Ziel ist es, den bargeldlosen Zahlungsverkehr weltweit zu vereinheitlichen. «SEPA» beruht auf dem neuen Standard ISO 20022. Dieser internationale Standard für den elektronischen Datenaustausch in der Finanzbranche gilt ab dem Juli 2018 auch in der Schweiz.
Alle sind betroffen
Die Harmonisierung des Zahlungsverkehrs mit dem Standard ISO 20022 betrifft alle: Finanzinstitute, Unternehmen und damit auch alle Versicherungsbroker, Kunden. Überweisungen, Lastschriften, Avisierung und Reporting, aber auch Einzahlungsscheine werden auf das neue System angepasst. Um mit der neuen Zahlungsnorm ISO 20022 arbeiten zu können, müssen Schweizer Unternehmen deshalb ihre Abläufe und ihre Software bis spätestens am 30. Juni 2018 aktualisieren.
Optimierungschancen
Die rechtzeitige Umstellung auf ISO 20022 bietet den Unternehmen aller Grössenordnungen weniger Ärger: Durch die einheitlichen Zahlungssysteme können Erfassungsfehler, Rückfragen und Rückweisungen durch Banken verhindert und somit administrativer Aufwand verringert werden.
Die Aufgabe mit den Informationstechnologie(IT)-Partnern lösen
Um mit den neuen Standards arbeiten zu können, benötigen alle Unternehmen eine Buchhaltungs-Software, welche den neuen ISO-20022-Standard unterstützt. Gegebenenfalls muss auch eingesetzte Hardware aktualisiert werden. Wo das noch nicht geschehen ist, muss die Aufgabe in Zusammenarbeit mit den externen Informationstechnologie(IT)-Partnern und den internen IT-Verantwortlichen rasch gelöst werden.
Voraussetzung für die QR-Rechnung
Im Rahmen der Harmonisierung des Zahlungsverkehrs gemäss dem Standard ISO 20022 erfolgt auch die Umstellung auf die QR-Rechnung. Ab Januar 2019 können die ersten QR-Rechnungen verschickt werden. Diese können nur von Buchhaltungssoftware oder Enterprise-Resource-Planning(ERP)-Systemen verarbeitet werden, die dem neuen Standard ISO 20022 entsprechen. Die heutigen Einzahlungsscheine werden beim Rechnungsversand nur noch während einer Übergangszeit verwendet werden können.